BON, ÇA Y EST, NOUS SOMMES RENTRÉS ! enfin disons que, physiquement, nous sommes rentrés… Pour ce qui est de l’esprit, nous ne sommes pas tout fait sûrs d’avoir tout recouvré. Difficile en quelques lignes de vous faire part de cette nouvelle aventure africaine. Notre voyage a été par bien des points de vue différent de ce que nous avions vécu l’an passé et pourtant nous sommes rentrés avec le même enthousiasme, celui qui fait que nous nous posons d’ores et déjà la question de savoir quand nous repartirons. En attendant, et si le temps nous le permet, nous allons tenter de vous faire partager au travers de quelques images notre grande joie d’avoir découvert le sud-ouest du Burkina Faso et plus particulièrement Bobo-Dioulasso, deuxième ville du pays. Premier acte : les Burkinabés : grand respect pour tous ces gens toujours souriants malgré les difficultés de la vie africaine. Une formidable leçon de vie. A bientôt Les Dumas-Ouari |
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Enfants de Bama, mars’06. Le plus petit porte un tee-shirt à l'effigie du président de la République.
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UNE GRANDE PART des déplacements au Burkina s’effectue à l’aide de deux-roues. Petites motos asiatiques ou P50 pour les monsieur tout le monde, vélos pour les moins fortunés. Les premières sont bon marché mais peu résistantes. Les Peugeot, quant à elles, ont une meilleure réputation en ce qui concerne la fiabilité. Mais attention à vos fesses ! le porte-bagages est redoutable à l’approche de la piste ! Pour garer toutes ces machines, il existe partout en ville des parkings avec “parkeurs” (photo ci-contre) et tickets. Pour la modique somme de 100 francs CFA (1 nouveau franc) ces messieurs vous garerons et vous garderons votre monture le temps d’une bière ou d’un marché. |
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ET QUAND ON N’EST PAS SUR DEUX-ROUES on est à pied ou en charrette et on ne calcule pas ! Ils et elles font des kilomètres à pied sous le cagnard (jusqu’à 45° C) pour qui livrer du bois ramassé dans la savane, qui livrer des sacs de riz ou de mil. Et le tout en claquettes ! | |||||||